mardi 16 août 2011

Nit ki; l'être humain, the human being

«Nit ñax la,
ndamam di tóor-tóor kese ;
ñax day wow, tóor-tóor ruus,
waaye kàddug Boroom bi day sax ba fàww.» 1 Piyeer 1.24

"Parce que "toute chair est comme l'herbe
et toute sa gloire comme la fleur de l'herbe: 
l'herbe a séché et sa fleur est tombée,  
mais la parole du Seigneur demeure éternellement"1 Pierre 1.24

"All flesh is like grass 
and all its glory like the flower of grass
The grass whithers
and the flower falls;
but the word of the Lord remains forever." 1 Peter 1:24

mercredi 10 août 2011

Doju dalil wa (la pierre angulaire; the chief cornerstone)

La première fois que j'ai entendu l'expression "cornerstone" ou "pierre angulaire" c'était il y plus de vingt ans dans une chanson de Bob Marley. Je ne savais pas du tout qu'elle se référait à Bible encore moins à Jésus d'autant que je l'écoutais comme une chanson d'amour. 

Des années plus tard, j'ai retrouvé ce terme "cornerstone" dans la lettre que l'apôtre Paul avait écrite aux habitants de la ville d'Ephèse en Asie mineure.  "Vous avez été édifiés sur le fondement des apôtres et des prophètes, Jésus Christ lui-même étant la pierre angulaire."( Ephésiens 2.20). Et cela avait été dit aux juifs par l'apôtre Pierre en Actes 4.11: "Jésus est La pierre rejetée par vous qui bâtissez, Et qui est devenue la principale de l'angle."

 En français, la première pierre est posée par un officiel et non par un maçon pour marquer le début d'une oeuvre. Il nous est dit: "Voici, je mets en Sion une pierre angulaire, choisie, précieuse; Et celui qui croit en elle ne sera point confus" (1 Pierre 2.6). Cette première pierre (Jésus) a été posée non par un officiel mais par Dieu lui-même.

En anglais, l'idée de "cornerstone" dérive de la première pierre qui est posée dans la construction d'un fondement. Cette "cornerstone" ou pierre angulaire est essentielle puisque c'est à partir d'elle que sera déterminée la position de la structure toute entière. Elle est en fait incontournable et essentielle. 

"Jésus-Christ lui-même est la pierre principale. En lui toute la construction s'élève, bien coordonnée, afin d'être un temple saint dans le Seigneur (Ephésiens 2.20-21). Tout comme le fait de ne pas avoir de pierre centrale aboutirait tôt ou tard à l'effondrement du bâtiment, de même, si Jésus n'est pas au centre et s'il n'est pas la source de toute ma vie, elle n'aboutirait à rien de solide. 

C'est là ce que j'ai compris et j'ai préféré depuis plus de quinze ans, mettre ma confiance en ce Roc: Jésus Christ.
Moi (Dieu), je place en Sion une pierre qui fait tomber, un rocher qui fait trébucher. Celui qui met en lui sa *confiance ne connaîtra jamais le déshonneur. Et cette vérité m'a rendu libre!

"Waaye ku wéeru ci moom (Yeesu Kirist), sa yaakaar du tas!"

mardi 9 août 2011

Ngan ci addina (Visiteurs sur la terre, sojourners on earth)

 "Gannaaw nag Yàlla, mi ngeen di wooye Baay, mooy àtte jëfi ñépp te du gënale kenn, saxleen ci ragal ko diirub seen ngan ci àddina." 1 Piyeer 1.17

" Dans vos prières, vous appelez Père celui qui juge impartialement tout homme selon ses actes. Par conséquent, pendant tout le temps qui vous reste à passer dans ce monde, manifestez par votre manière de vivre que vous le révérez." 1 Pierre 1.17

If you address as Father the One who impartially judges according to each one’s work, conduct yourselves in fear during the time of your stay on earth;

lundi 8 août 2011

Un poète qu'on ne lit plus

Un Poète qu'on ne lit plus

Il existe un poète aux odes insondées,
Plus vaste que les cieux, plus grand que l'infini ;
Son cœur est l'océan où naissent les idées,
L'univers à genoux chante son nom béni.

Son regard rajeunit les croyances ridées ;
Il sculpte au cœur humain l'espoir dans le granit,
Il calme de la mer les vagues débordées ;
Aigle impossible, il a l'immensité pour nid.

Sa plume est le soleil ; son poème, le monde ;
Les monts et les forêts que la tempête émonde,
Les océans profonds que tord le vent du flux,

Sont les notes sans fin de sa vaste harmonie ;
L'homme est l'écho complet de son œuvre infinie.
Ce poète, c'est Dieu ; mais on ne le lit plus.

Etienne Eggis
(1830-1867)